30 septembre 2006

Appel des socialistes parisiens..avec Ségolène !

Demain, la victoire avec Ségolène Royal !
Appel des socialistes parisiens
à soutenir la candidature
de Ségolène Royal !


(pour le signer..militant(e)s de notre section PS 13éme ouest envoyez un mail ! )




Segolene candidate - Vitrolles
envoyé© par da93


Le 16 novembre, ce sont les adhérentes et les adhérents du PS qui désigneront, par leur vote, leur candidat(e) à l’élection présidentielle. Au cours des derniers mois, plusieurs milliers de nos concitoyens nous ont rejoints pour participer à ce choix, animés par la volonté de battre la droite, de ne pas reproduire les erreurs du passé et de proposer aux Français une alternative forte et crédible.



En soutenant Ségolène Royal, nous faisons :


Le choix du rassemblement


Ségolène Royal a su rassembler, au sein du PS, des camarades issus de toutes les sensibilités, dépassant ainsi les clivages qui avaient remis en cause notre unité. Elle saura de la même manière, le moment venu, rassembler largement la gauche, et tous ceux qui aspirent profondément au changement.


Le choix du courage et du langage juste


Ségolène Royal a pris le parti d’affronter les réalités, bousculant les conservatismes ou les conformismes qui entravent trop souvent notre réflexion et notre action. Or notre démocratie ne va pas bien et les ingrédients d’une nouvelle insurrection populaire dans les urnes n’ont pas disparu, car la politique menée par la droite depuis cinq ans a aggravé la situation de nombre de nos concitoyens. En se saisissant avec lucidité de problèmes que nous avons trop souvent négligés, Ségolène Royal nous permet de renouer avec le cœur de notre électorat, qui s’était détourné de nous lors de l’élection présidentielle de 2002.


Le choix du renouveau


Ségolène Royal incarne le changement de génération et de méthode que nos concitoyens attendent. La « République du respect » qu’elle nous propose de construire ensemble, c’est la promesse d’un nouveau style de présidence et de nouvelles conquêtes démocratiques, c’est aussi la promesse que les citoyens « experts de leur quotidien », qui se sont pour beaucoup éloignés de la politique, seront désormais des acteurs majeurs de l’action collective. Et pourquoi ne pas le dire ? Nous serions fiers de soutenir, pour la première fois, la candidature d’une femme - et d’une femme de gauche - à la présidence de la République !


Le choix de la responsabilité et de la loyauté


Ségolène Royal fait le choix d’un débat digne et démocratique au sein de notre parti en refusant le petit jeu des querelles internes. Il faut que cessent toutes les attaques personnelles ! Entre socialistes, nous avons l’obligation de ne rien faire qui puisse collectivement nous affaiblir face à la droite. La campagne interne doit être le premier acte de notre campagne présidentielle. En donnant la plus large majorité possible à Ségolène Royal, nous enclencherons une dynamique forte pour entrer dans la bataille présidentielle.


Le choix de la victoire


Rien n’est joué ! La droite, qui mène une politique de régression sociale sans précédent et nous annonce déjà, sous couvert de « rupture », une nouvelle cure libérale des plus féroces, doit être battue. Le projet que les socialistes ont adopté trace la voie d’un véritable changement, pour une société plus dynamique, tournée vers l’avenir, mais aussi plus juste et plus protectrice de ceux qui souffrent.


Nous pensons que Ségolène Royal est la mieux à même de porter notre projet devant le pays et de conduire la gauche à la victoire en 2007 !


Avec Ségolène Royal, faites comme nous le choix de l’avenir, le choix de la reconquête idéologique sur le terrain des valeurs, le choix du rassemblement des socialistes et de la gauche pour la victoire !


Les premiers signataires (en gras et italique, membres de la section PS 13éme ouest) :


Mehdi ABABOU (14e), Maya AKKARI (18e), Olivier ALBESSARD (5e), Daniel ASSOULINE (11e), David ASSOULINE (20e), Amadou BA (19e), Jeanine BARES (18e), Philippe BATEL (18e), Laurent BAYON (18e), Geneviève BELLANGER (14e), Gonzalo BELMONTE (13e), Farid BEN MALEK (18e), Lucile BERTIN (10e), Dominique BERTINOTTI (4e), Georges BLANCHARD (15e), Prunelle BLOCH (11e), René BOKOBZA (5e), Olivier BOTT (18e), Patrick BOUTON (4e), Bertrand BRET (20e), Camille BRINET (13e), Colombe BROSSEL (19e), Christine BRUNET (15e), Max BRYON (19e), Frank BURBAGE (18e), Jules CAPRO-PLACIDE (19e), Christophe CARESCHE (18e), Yves CARMONA (18e), Philippe CARRION (20e), Michel CAUCHARD (18e), Pierre CHABERT (18e), Christophe CHAMOUX (12e), Emmanuel CHANSOU (8e), Yacine CHAOUAT (19e), Paul-André CHARLES (13e), Messaouda CHARUEL (19e), Véronique CHEVAILLIER (12e), Mahor CHICHE (19e), Elodie CLAIRE (8e), Loly CLERC (7e), Lyne COHEN-SOLAL (5e), François DAGNAUD (19e), Adama DAOUDA-KOUADIO (19e) Jean-Philippe DAVIAUD (18e), Dimitri DEBENAY (15e), Hervé DELAFONT (18e), Marcel DELMAS (18e), Nicolas DESFONTAINES (11e), Pierre DJIKI (19e), Chantal DRANCOURT (18e), Michel DUCHEMIN (17e), Françoise DURAND (20e), Agnès EDEL-ROY (19e), Isabelle ESCOFFIER (19e), Christian FEUILLET (18e), Gilbert FLAM (11e), Manuel FLAM (11e), Mireille FLAM (11e), Sylviane FORESTIER (19e), Anne-Catherine FRANCK (13e), Christine FREY (3e), Afaf GABELOTEAUD (18e), Marta GARCIA (1e), Anne GAUTHEY (18e), Christophe GIRARD (3e), Paul GOOSSENS (18e), Jacques-Pierre GOUGEON (18e), Renaud GOURVES (19e), Ricardo GRAF (19e), Didier GUILLOT (18ème), Jean-Pierre GUIS (12e), Sylvie GUITTARD (18e), Emmanuel GREGOIRE (12e), Shona HAMMONDS (18e), Michel HENRY (18e), Corinne HIRSCH (19e), Jean-Philippe HUSETOWSKI 19e), Halima JEMNI (19e), Roseline KALIFA (3e), Ouarda KARRAI (20e), Nathalie KAUFFMAN (20e), Béatrice KHAIAT (18e), Lubin KOUBAKA (18e), Thierry LAJOIE (11e), Christophe LANOË (17e), Gaël LAPEYRONNIE (4e), Christian LARRICQ-FOURCADE (18e), Gérard LASSALE (18e), Marc LEBRET (3e), Louis LEFEVRE (5e), Gérard LE GALL (5e), François LEGRAND (18e), Claude LEROUGE (Caisse d’Epargne), Morgane LESAGE (13e), Jean-François LOISY (18e), Malik LOUNES (13e), Monique LY (18e), Roger MADEC (19e), Eric MAIGNAN (18e), Jacques MAIRE (13e), Marc-Pierre MANCEL (9e), Philippe MANGION (18e), Devrim MARIA-SABI (14e), Gilles MARTINEAU (18e), Gilles MARRON (4e), Christiane MASSON (20e), Julie MATHIEU (8e), Juliette MEADEL (14e), Dominique MERCHEZ (17e), Thierry MERCIER-RENOIR (18e), Jean-Pierre MIGNARD (11e), Philippe MOINE (13e), Camille MONTACIE (3e), André MOREAU (20e), Alain MORELL (6e), Eric MOULINES (8e), Muriel MOURNETAS (11e), Bernard NADEAU (19e), François NAVARRO (20e), Caroline NEYRON (18e), Annie NOVELLI (16e), Pascal NICOLLE (18e), Nicolas NORDMAN (19e), Gabrielle OPIGEZ (18e), Pierrick PARIS (12e), Jean-François PASCAL (20e), Michel PEREZ (17e), Thomas PERSUY (18e), Francis PIEGZA (20e), Claude PIGEMENT (17e), Romain PIGENEL (Ecole Normale Supérieure), Nadine REMY (12e), Vincent REY (12e), Marina ROGARD (18e), Michèle ROUHET (19e), Jean-Michel ROSENFELD (20e), Jean-Renaud ROY (15e), Bernard RULLIER (5e), Juliette SABATIER (13e), Flora SALADIN (17e), Sonia SAMADI (19e), Christian SAUTTER (12e), Philippe SEILER (11e), Isabelle SERVE (18e), Aimé SKOUTELSKI (13e), Philippe SOPENA (18e), Patrick SPINOSA (18e), Freddy SPIRA (13e), Daisy STOVER (18e), Pascal TALON (3e), Claudine TANKEU (19e), Eric TAVER (13e), Françoise THIEBAULT (19e), Violaine TRAJAN (18e), Anne TRICAUD (17e), Olga TROSTIANSKY (10e), Laurent TROTTET (18e), Jean-Jacques VACHER (15e), Odile VADOT (15e), Coline VANNEROY (18e), Jean-Noël VIEILLE (9e), Christian VIERON-LEPOUTRE (19e), Axel VILLECHAIZE (2e), Blaise WILFERT (Ecole Normale Supérieure), Marc WLUCZKA (20e), Marina ZUCCON (18e)

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27 septembre 2006

RESF...Rendez vous à tous !


Le Réseau Education sans Frontières des 5e et 13e arrondissements de Paris(RESF 5e/13e) organise
une rencontre le 6 octobre 2006 de 18 h à 21 h
à destination des familles et jeunes majeurs dépourvus de titre de séjour des 5e et 13e arrondissements de Paris, parents, d'élèves, enseignants, habitants, associations, etc. des deux quartiers :

Salle Saint-Hippolyte, 27, av. de Choisy, 75013 Paris
(Métro Maison-Blanche, ligne 7).
Vous trouverez ci-joint un tract-invitation.
Venez nombreux !
Catherine Ravelli RESF 5e/13e

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22 septembre 2006

Bondy J-229....

Se©golene Royal Discours Bondy J-229
envoye© par yann2006

"Nous sommes des alliés politiques"

(Arnaud Montebourg)

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20 septembre 2006

Cachan..Fierté Sarkoziste !




Cachan, Agression Policiere 19/09/2006
envoye© par hopto

Les images parlent mieux que de longs discours..la politique Sarkoziste apparait dans toute sa finesse, sa subtilité intellectuelle.. avec une repression policière quotidienne ( fichage, mépris et violences, arrestations, expulsions ) et son aveuglement, son refus d'accorder tout droit humain à l'égard de citoyens "sans-papier" ( volontairement précarisés, affaiblis et discrédités ) que nous cotoyons depuis des années dans nos villes !

Cachan...6 douches 250 personnes !

Nous sommes en France, près de Paris,

pays des droits de l'Homme et des Libertés..en 2006 !

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Bondy...en avant toute !


BONDY (AFP) - Ségolène Royal, qui n'a pas encore annoncé officiellement qu'elle serait candidate à l'investiture socialiste pour la présidentielle, a clairement mis mardi à Bondy ses troupes en ordre de marche pour la campagne.

"Et maintenant, à vos sacs à dos !", a lancé la présidente de Poitou-Charentes à quelque 300 membres de ses comités Désirs d'avenir, réunis dans une salle de la mairie pour le lancement à grande échelle de débats participatifs dans toute la France.
"Moi, le pouvoir ne me changera pas, c'est l'un des engagements que je peux vous faire", a-t-elle lancé. "En revanche nous avons la responsabilité de changer le pouvoir en le rendant aux citoyens sans démagogie".
Elle a évoqué la campagne interne, puis la campagne externe - "si toutefois, a-t-elle ajouté sous les rires et les applaudissements, je dépose ma candidature".
"Il faut que la campagne se prépare dans les débats participatifs, qu'on donne du contenu concret au projet", a-t-elle déclaré. "Après la campagne, on aura d'autant plus l'obligation de rendre des comptes qu'on aura fait émerger des choses avec les citoyens".



Montée sur une petite estrade en bois, elle a harangué ses troupes, assises en rond sur des chaises dans une salle mise à leur disposition par le maire de la ville, Gilbert Roger, un des membres de son conseil d'animation politique.
"J'ai besoin de la mobilisation de tous", "mettez-vous en mouvement !", leur a-t-elle lancé.


Ségolène Royal a suggéré à ses militants de "passer au moins 15 minutes par jour" sur le site qu'elle a lancé, Désirs d'avenir. "Vous êtes regonflés pour la journée et vous apprenez plein de choses", a-t-elle assuré. "Moi-même, je me fais cette obligation".


L'un après l'autre, elle a égrené ses thèmes et formules favoris: "ordre juste", "valeur travail", "république du respect", "révolution démocratique", "excellence environnementale", "co-développement", "politique par la prevue", "mise en commun de l'intelligence collective"...


Elle a défini trois thèmes de travail: comment améliorer dans le pays la qualité du dialogue social, l'égalité dans l'éducation et la préparation de l'après pétrole


Il faudra "beaucoup d'énergie", "c'est beaucoup plus difficile que de faire des suites de meetings", qui viendront "le moment venu", a-t-elle noté.
Elle s'est réjouie à cet égard d'avoir le soutien d'une quarantaine de fédérations socialistes, de 470 comités Désirs d'avenir, de 250 "personnes ressources" - elle n'aime pas le mot d'"experts", qui est "d'en haut" - et l'aide de 45 bénévoles.
"Ségolène présidente, Ségolène présidente !", ont lancé ses partisans.


Nombre de membres de son conseil d'animation politique étaient là: le député Arnaud Montebourg, le sénateur Louis Le Pensec, le député européen Gilles Savary, Roger Madec, maire du XIXe, Dominique Bertinotti, maire du IVe...
"Ségolène Royal nous donne la chance de nous rénover dans nos pratiques politiques", assure cette dernière.

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19 septembre 2006

L'Alliage..selon Arnaud Montebourg



Les attaques invraisemblables pleuvent sur Ségolène Royal, au point que Nicolas Sarkozy en fait désormais un point d'appui de son offensive contre elle. La gauche offre des armes au chef de l'UMP contre la seule candidate socialiste en mesure de le battre.


Ceux qui nous ont conduits au 21 avril 2002 se rassembleraient-ils pour une nouvelle fois nous infliger le même résultat ?


Quels sont donc les reproches qui lui sont adressés ? Son prétendu vide ?


Ceux qui portent ces attaques feraient bien de relire ses discours et ses déclarations depuis plusieurs mois.




Les militants du pays minier du Pas-de-Calais ont entendu Ségolène Royal, à Cambrin, rappeler dans son discours que «la gauche doit imposer la juste hiérarchie entre le capital et le travail et faire en sorte que le travail soit moins taxé que le capital».


Ils ont applaudi à la phrase : «Nous ferons en sorte que le capitalisme financier soit mis sous contrôle et refuserons de laisser broyer les hommes et les femmes par la dynamique du libéralisme sauvage.»



La foule de Frangy-en-Bresse l'a également applaudie à l'idée de «la création d'un syndicalisme de masse pour rétablir le rapport de force, aujourd'hui totalement déséquilibré entre les dirigeants et les salariés». Elle ajoutait : «C'est l'intérêt bien compris du pays qu'un syndicalisme de masse oblige à la négociation collective.


C'est dans les pays où les taux de syndicalisation sont les plus élevés qu'il y a moins de licenciements collectifs et qu'il est moins nécessaire de recourir à la grève pour être entendu.»


Ce ne sont, à l'évidence, pas les idées de Nicolas Sarkozy. Les positions de Ségolène Royal sont enracinées dans l'héritage du mouvement ouvrier et sa défense des droits sociaux, en s'inspirant d'expériences socialistes concluantes du nord de l'Europe.


Elle cherche à renforcer le poids du syndicalisme et à modifier en profondeur les comportements des acteurs du capitalisme dérégulé ; elle cherche l'outil de réhabilitation du prix et de la valeur du travail dont elle a fait un élément central de son discours.


La candidate a en vérité ouvert le dossier épineux de la démocratie sociale. En évoquant l'adhésion obligatoire aux syndicats, que madame Thatcher en son temps avait réussi à briser, nous sommes là plus proches de l'antithatchérisme le plus ferme que des oeuvres tièdes de son successeur Tony Blair.


J'ajouterais, non sans malice, que bien des socialistes qui ont voté non le 29 mai 2005 devraient s'y retrouver !



Est-il également permis d'évoquer le concept soudain apparu si novateur d' «ordre juste» qu'elle a lancé dans son discours de Rodez le 12 mai dernier et qui lui a valu un procès en «nomadisme idéologique».


Pourtant, il ne s'agit que du rappel de ce que doit être la République : parce qu'elle est égalitaire, elle ne peut s'autoriser à être sévère que si elle l'est à l'égard de tous, donc juste.


On ne peut lutter contre les zones de non-droit dans la République que si on assume et organise la lutte contre les privilèges judiciaires de ceux qui détiennent l'argent, la puissance et le pouvoir. A Rodez, Ségolène Royal évoquait dans ces termes l'ordre juste : «un principe fondateur d'un ordre solidaire autrement ambitieux que l'ordre aux petits pieds du tout sécuritaire sur fond de dérive vers le précariat pour tous».


Elle ajoutait : «Alors que l'insécurité économique et sociale gagne du terrain, le comportement de la puissance publique se doit d'être irréprochable. Une mauvaise conduite à la tête de l'Etat constitue un vrai facteur d'insécurité, car pourquoi respecter des règles dont les puissants et les gouvernants s'affranchissent ?»


L'ordre juste est hautement supérieur à l'injustice de l'ordre autoritaire de l'UMP. Et il est hautement préférable au désordre injuste que conduirait une République aux abonnés absents, incapable de donner un sens à la loi républicaine. Ce sont finalement là des analyses que ne récuserait pas un Jean-Pierre Chevènement.


C'est ici que prend sa force la «révolution démocratique» que Ségolène Royal entend accomplir dans la construction de cette République nouvelle. Si la loi doit assurer la justice tout en trouvant la force de s'appliquer et d'ordonner la société, les conditions de sa discussion et de sa fabrication doivent alors être reconsidérées en profondeur.


La «révolution démocratique» est l'instauration d'un rapport de responsabilité entre les dirigeants mandatés pour décider et les citoyens dépositaires de la souveraineté.


Elle est aussi l'organisation concrète du «droit égal» de ceux qui n'ont pas de titre à gouverner à s'occuper des affaires communes. «Notre projet affirme la compétence également légitime des citoyens ordinaires, ce pouvoir des "n'importe qui" toujours dénié par les élites autoproclamées de la naissance, de la richesse ou de la cooptation endogame.»


Ce sont là des orientations qu'on pourrait retrouver dans les choix de tous les promoteurs d'une VIe République, quels qu'ils soient, Christiane Taubira ou moi-même.


Sur les problèmes environnementaux, l'ancienne ministre de l'Environnement tient un langage à la hauteur de l'urgence planétaire, en faisant de la fin du pétrole le point central de la restructuration de l'ensemble des politiques publiques : «C'est une question de survie, l'environnement doit donc être intégré à toutes les décisions publiques et privées qui sont prises.»


Elle prend le soin d'ajouter : «La protection de l'environnement est liée à la démocratie et à l'exigence de transparence. Tous les mensonges officiels que l'on a connus à propos du nuage de Tchernobyl, de l'amiante, des OGM, ont permis de ne pas remettre en cause des habitudes, des puissances financières, des rapports de force et des intérêts corporatifs.


Quand il y aura la transparence totale et quand l'information scientifique sera donnée sur l'impact de la dégradation de l'environnement, sur la santé publique, alors les gens se bougeront, et les politiques prendront les bonnes décisions.» Ce sont là des propos auxquels Dominique Voynet n'aurait pas enlevé une virgule.


Voici comment Ségolène Royal construit pierre après pierre une synthèse originale des différentes gauches. Elle en fabrique un nouvel alliage, original, novateur et offensif, en rapport avec les besoins profonds de la société française. Les socialistes que nous étions avaient sous-traité, dans l'attelage cahotant de la gauche plurielle, aux autres partis de gauche des morceaux de l'appareillage idéologique des socialistes, peut-être par incapacité de regarder le monde tel qu'il était devenu. Le projet et le candidat socialiste de 2002 ne parlaient plus à quiconque, sauf au vide politique que le parti avait installé en lui-même.


Voilà pourquoi la rénovation de la gauche passe par la nouvelle donne de Ségolène Royal.


Celle-ci dépasse les anciennes contradictions de la gauche plurielle, les anciennes querelles qui appartiennent à la génération antérieure ainsi que les récents désaccords sur le TCE.


A Frangy, elle déclara : «Quels qu'aient été nos votes lors du référendum, nos raisons étaient voisines. Nous voulions les uns et les autres une Europe plus protectrice, plus citoyenne, plus sociale et plus politique.


De l'Europe que nous voulons, à l'Europe telle qu'elle est, nous mesurons la distance et le travail qu'il reste à faire, mais c'est le rôle de l'idéal que d'aider à transformer le réel. Il n'est évidemment pas question, pour les socialistes, de soumettre à nouveau à la ratification un traité constitutionnel que le peuple français a rejeté.


Notre projet prévoit de proposer l'élaboration d'un texte court, visant seulement à mieux organiser, démocratiser et responsabiliser les instances européennes. Il devra bien sûr, une fois négocié, être soumis à l'approbation du peuple.»


Ségolène Royal renvoie aux significations profondes de la victoire du non en 2005, laquelle exigeait que la démocratie exerce sa maîtrise sur le destin de notre société, et demandait à retrouver la force perdue du bulletin de vote face à l'emprise des marchés et de l'économie.


Dans les différents éléments d'identité de sa candidature ­ syndicalisme de masse, ordre juste, révolution démocratique, excellence environnementale ­, Ségolène Royal ouvre le chantier de la reconstruction du politique et cherche à organiser les retrouvailles avec la force d'agir sur la réalité.


Il est temps de se rassembler autour de cette nouvelle donne, à partir de nos propres convictions, sans en abandonner aucune, pour contribuer à la victoire d'une gauche enfin rénovée qui sera celle de toutes les gauches.


Le temps nous presse et l'audace qui nous a manqués jusqu'ici est au rendez-vous.


Rejoignez-nous.

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18 septembre 2006

Solidaires..avec les enfants de nos écoles !


Solidaires des parents d'élèves
ou d'élèves menacés d'expulsion !
La FCPE Paris a lancé de nombreuses pétitions
de soutien dans notre capitale.
Récemment, des familles d'élèves (Rolph, Fani et Angélie) de l'école maternelle (23 rue Boulard Paris 14e), ont déposé un dossier à la préfecture de police pour pouvoir rester avec leurs enfants en France


Manifestons leur un grand soutien !

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17 septembre 2006

Arnaud chez FOG sur la 5...

Arnaud Montebourg sur la 5 invité de FOG à 13h35....
Arnaud Montebourg est confronté à trois auteurs dont il ne connaît pas l’identité. Journaliste, romancier, philosophe ou personnage du monde littéraire lui tiendront tête sur un sujet plus que d’actualité : La gauche d’aujourd’hui, ses divisions, ses objectifs et ses contradictions.


Avec Yann Moix, Marcela Iacub et Laurent Wauquiez
Arnaud a conseillé deux livres :
- Mort à la globalisation John Saul Ed. Payot-Rivages
- Le musée de l’homme David Abiker Ed. Michalon
et le film Indigénes !

ARNAUD MONTEBOURG SUR LA 5, INVITE DE FOG
"Le socialiste qui monte, qui n'a pas sa langue dans poche,
porte parole de Ségolène Royal : Arnaud Montebourg"


Ségolène désire transformer le PS en profondeur, mettre en place une nouvelle donne politique, acter la critique de 2002 et en tirant toutes les conséquences.


Oui/Non au traité européen
Arnaud est aussi pleinement un socialiste européen, et considére qu'il n'est pas utile d'instrumentaliser le débat autour du Oui/Non entre socialistes.
Ségolène propose, au contraire, un vaste rassemblement autour de sa personne avec un refus de marginaliser des socialistes


Sur Le Mans, RM et Arnaud
Il a été diabolisé, méprisé au sein du PS...et à la suite du congrès du Mans, Arnaud reconnait son enlisement dans une situation de fait où il a perdu beaucoup de ses amis, et où celà a été un échec politique clair.



Modernité, Libéralisme
Ségolène est moderne mais pas archaique, dans un sens de modernité divergeant énormément d'une posture libérale car..elle insiste sur la necessité de délibérer ensemble, penser à notre avenir localement et de prendre en main nos choix par une démocratie participative dynamique.
Ségolène n'est pas blairiste, mais elle sait évaluer les éléments importants qui réussissent en GB et se demande s'ils ne sont pas à étudier, à approfondir pour en tirer profit dans notre pays et pour le bien de tous.


Prise du PS..par la droite (FOG) ?
Ségolène est caricaturé, elle est en fait composé de matériaux composites différents et forme un alliage parfois incompris.
Néanmoins elle prone un socialisme novateur, rénover qui pourrait être à la base d'un grand ébranlement du type de l'époque 1980 à gauche.


Quelques réactions de collègue à l'Assemblée Nationale..
Pour André Santini..Arnaud est un mystique passionné
Pour Maxime Gremetz...un zorro sans épée


Ségolène, sa candidature et la société
Elle avance, la population s'imprégne de sa candidature et s'en empare.
Peu à peu, elle construit pierre après pierre une relation avec la société et dialogue.
L'ordre juste, n'est pas un ordre repressif mais..une organisation de la société combinée avec l'acceptation de la prise en compte de la rebellion de la société contre les injustices sociales.
Un désir d'organiser la société, de remettre au centre la valeur humaine et son respect,en soumettant enfin le marché/le libéralisme/la mondialisation à nos orientations socialistes.
Beaucoup de chercheurs, d'universitaires travaillent aux côtés de Ségolène et orientent les réflexions.


Arnaud et Ségolène
Il reconnait s'être trompé sur le compte de Ségolène, avant le choix de Frangy et les réflexions avec les camarades de RM, il s'interrogeait réellement sur ce qui se passait alors que Ségolène est vraiment à gauche..avec parfois des accents chevenementistes.


Jospin
C'est un retour...mais il n'a pas effectué de retour sur lui même, le travail politique sur la défaite de 2002 et ses conséquences n'a pas été réalisé. Il a constitué un affaiblissement du socialisme.


Mitterrand
Admirateur de sa stratégie, de sa volonté constante de rassembler (PS/gauche)..mais refus constant du systéme politique de la Véme République qui en lui même porte les germes des crises constatées (à gauche comme à droite).
Arnaud veut être utile pour bâtir un nouveau pouvoir politique, avec des contre pouvoirs réels et actifs et enfin régler les dossiers en souffrance depuis plus de vingt ans.
Rediscuter une loi fillon non financée, injuste et criticable sur le fond.
Pour les socialistes, il faudra prendre en compte le fait que la durée du travail va s'allonger et que la pénébilité du travail doit être mieux analysée, reconnue..avec en complément une réflexion profonde sur le systéme des retraites.


La 6éme République
Il y aura un référendum institutionnel dans les six mois, après la victoire, et c'est à nous de mettre en place les conditions de la tranformation de la société propices à la mise en place d'une nouvelle république, plus équilibrée.


La France
"Vivre en décidant de notre destin" (Arnaud), avec la force d'entrainer les autres vers un ordre que nous construirons nous mêmes.

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15 septembre 2006

Presse..



ARNAUD ET GALA...

"Est il possible d’être dans Gala sans l’avoir voulu, ni souhaité, ou en l’ayant refusé ? C’est ce qui est arrivé au responsable public que je suis, et ce qui vous permettra de juger des moeurs journalistiques de notre époque.


Le journaliste auteur de cet article d’ailleurs aussi desobligeant que grotesque n’est autre que Daniel Bernard, journaliste salarié au journal Marianne, publication dont j’apprécie les analyses et avec laquelle comme dirigeant politique je travaille régulièrement.

Daniel Bernard était d’ailleurs a Frangy en Bresse pour enquêter sur la nature de l’alliance que j’étais en train de nouer avec la candidature de Ségolène Royal. Il s’attarda après le tumulte quand le soir fut venu et me posa fort légitimement quelques questions sur l’évolution de la situation politique. Je fus surpris en lisant son journal de constater plus tard que ces matériaux informatifs n’avaient pas ete utilisés dans ses articles successifs parus sous sa signature dans Marianne.


La semaine dernière l’interessé m’appelle et me dit qu’il pigeait pour Gala (...) en écrivant des articles sur les hommes (ou femmes) politiques. Je lui ai dit que je ne souhaitais pas apparaître dans cette publication. Il m’a repondu (...) qu’il "ne m’en laisserait pas le choix". J’ai donc demandé deux choses : que ma vie privée n’y figure pas puisque ma femme et moi même ne nous sommes jamais exposés dans la presse même locale, a fortiori nationale, et avons toujours soigneusement protegé nos enfants du regard journalistique. Je precise que cette règle de conduite de ma part n’a jamais varié depuis que je suis devenu parlementaire en 1997.

Je lui ai également demandé de faire figurer dans son article mon refus des indiscrétions sur ma vie personnelle. Il m’a assuré - certainement pour m attendrir- que ce serait le cas.

Ces deux engagements ont été trahis par ce journaliste. L’article qui fait état d’éléments de ma vie personnelle est construit a partir de ragots non verifiés déjà parus dans des livres qui me concernent.


Quant à la photo elle a été prise il y a plusieurs mois par un photographe indépendant lyonnais qui m’avait demandé de realiser un reportage sur le terrain en Bresse, ce qui fut fait. Les photographies dans le jardin de ma maison bressanne ont été prises exlusivement en extérieur parce que le photographe souhaitait un decor rural bressan et familier. J’étais loin de penser que tout cela finirait dans Gala ! C’est bien la ma seule imprudence.


Pour le reste, peut on enfin comprendre que c’est la presse qui nous réduit nous les responsables publics à des people ridicules, à des caricatures peu ragoûtantes, et qui ne nous permet pas de nous exprimer sur nos projets, nos convictions, et nos idées.

Que dois je faire cher Daniel Schneidermann devant autant de petitesse ? M’abaisser à téléphoner au directeur de Gala pour lui demander de ne pas publier ? On aurait crié a l’atteinte à la liberte de la presse ! De beaux principes qu’il faut en effet défendre pour masquer de vilaines pratiques. Faire un procès a Gala ? C’est certainement ce que je vais faire, mais vous verrez qu’on criera au censeur.


En tous cas je vous demande de continuer à vous battre comme je le fais moi même pour que la presse participe a la construction de la démocratie, si fragile democratie.

Il y a d’enormes problèmes a régler en france. Les dirigeants politiques que nous sommes n’y arriveront pas seuls, ils auront besoin des citoyens, et pour assurer le dialogue entre eux d’une presse solide, sérieuse et attache a l’avenir de notre beau pays. "


Arnaud MONTEBOURG

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13 septembre 2006

Expo à Arcueil...



Une petite visite récente, lors d'un week end, m'a permis de découvrir une exposition à Arcueil (métro Laplace) sur "les visages du mouvement ouvrier" avec une rétrospective sur les mouvements anarchistes, communistes et socialistes...bien illustré avec de beaux panneaux, et un diaporama interessant (sur des personnalités du mouvement ouvrier français).

Pour le 16 septembre 2006 Journée Front Populaire

à la Galerie Municipale Julio Gonzalez

21 avenue Paul Doumer à Arcueil

*****

- 13h Visite guidée de l'expo avec C.Pennetier,

historien chercheur au CNRS

Films : Gréves d'occupation (actualités ouvrières 1936-38)

Breiz Nevez (actualités ouvrières 1938)

- 14h/18h Colloque Front Populaire à Arcueil, en France et ailleurs

Front Populaire vu de la banlieue (C.Pennetier)

Grèves de mai juin 1936 (J.Girault, professeur d'Histoire)

Front Populaire et Guerre d'Espagne (R.Skoutelsky, historien)

- 18h Séance de dédicaces

autour du nouveau Maitron, dictionnaire biographique

du mouvement ouvrier et social

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12 septembre 2006

Dans la prairie à Quimperlé....Passe la 6éme !

quimperledebat
envoyé© par falaise

Ségolène s'est rendu à Quimperlé, en Bretagne, pour une belle fête de la Rose avec bien des militants socialistes, mais aussi des simples citoyens et une gauche qui veut se retrouver, s'unir et dynamiser son élan politique..
Au delà de la petite "provoc" médiatique autour de la militante (MJS Brest) Nolwen qui s'est rapidement retournée contre son auteur, une question a été posée dans le débat concernant la necessité de passer maintenant à la 6éme République.
Une thématique toujours chérie par Arnaud, RM et ses militants..mais aussi beaucoup de citoyens à gauche.

Ségolène a souligné que nous nous devions de rééquilibrer les pouvoirs, en y intégrant la démocratie participative et en mettant fin au cumul des mandats (pour que les élus soient vraiment investis auprès de la population, soient impliqués dans leur fonction).
Le parlement doit avoir un droit de contrôle renforcé, avec des citoyens associés aux décisions prises en leur nom.
Il faudra le valider, vraisemblablement, par un référendum institutionnel.

L'important c'est de ne pas oublier que nous oeuvrons pour une République par la Preuve, car il y a trop eu dans le passé des promesses non tenues (vote pour les étrangers aux élections municipales), et nos citoyens ne l'acceptent plus.
"Réaliser des choses et en parler après", avec une réforme moderne qui met au coeur une nouvelle confiance entre les citoyens et leurs élus.
Pourquoi pas la 6éme République, mais tenons d'abord parole !

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09 septembre 2006

Adhérents Internet PS (suite)


ça progresse..don't panic, be happy !

Peu à peu, on y voit plus clair au PS sur le sujet épineux de la constitution des listes pour le vote interne dans le cadre de la désignation de notre candidat(e) socialiste à la présidentielle.

Le bureau fédéral parisien autour de Bloche a reconnu l'importance de nos statuts (et par conséquence la necessité des présentations en AG) donc de conseiller aux secrétaires de section de faire le maximum pour favoriser les présentations avant le 27/09/2006 (avec de multiples réunions), tout en actant des difficultées parisiennes (vu nos 10.000 nouveaux militants) et de l'importance de continuer notre travail d'ouverture (lié à la campagne d'adhésion/J.Lang), d'accueillir tous les nouveaux et de ne pas créer des masses de recours, mauvais pour l'image de notre parti et ses adhérents.

Au vu d'éléments objectifs, la circulaire du 28/08/2006 n'est pas strictement applicable..même si la présentation en AG et le contact en section est fondammental. F.Hollande a adressé un mail aux nouveaux adhérents internet PS en précisant nos statuts, et les responsabilités militantes dans le cadre de ce vote interne.

Si les sections, leurs secrétaires et leurs responsables..se doivent de tout faire pour présenter un maximum d'adhérents avant la date couperet du 27/09/2006, mais tout en gardant en tête qu'il n'est pas possible de créer par les faits des adhérents de 1ére classe (présentés en AG) et des adhérents de 2éme classe (non présentés en AG) -sans droit de vote-.

Toute discrimination dans la procédure de vote (style double cahier ou doubles enveloppes séparées) est clairement inappropriée, vu que les adhérents internet PS (avant le 1er juin) bénéficient de l'engagement du PS de pouvoir voter pour..le projet et la désignation présidentielle.

Les listes pour le projet, ayant généré bien peu de contestation, alors que pourtant..elles reprenaient déjà les noms de ces nouveaux adhérents internet (présentés en AG ou pas), la logique voudrait que les listes du projet soient une base objective de travail.

Pour vous présenter, la prochaine occasion...

Mardi 19 septembre :

AG consacrée à l'actualité politique de la rentrée

Salle Bruxelles du FIAP (30 rue Cabanis - Paris 14e)

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08 septembre 2006

Adhérents Internet PS ! ATTENTION !


Petite Politique..
En prélude, une bonne bouffée d'air de Frangy (durant les discours d'Arnaud et de Ségolène) pour respirer...et se délester de nos toxines, avant de parler à juste titre des gesticulations fabusianos-mélanchonistes visant à tout simplement..exclure du vote interne pour la Présidentielle... une partie des adhérents "internets" PS, ceux qui n'ont pas été encore présentés en AG..!

Pour commencer un bon lien de blog (camarade de section utopiste) qui se fait l'écho de l'absurdite de la situation, où dans certaines sections parisiennes des...centaines d'adhérents risquent de venir voter, d'être refoulés, de créer des situations de litiges multiples et au final de donner encore, une bien mauvaise image du PS et de son organisation.

Espérons que la situation s'apaisera sur l'ensemble de Paris, et qu'un accord sera trouvé prochainement dans notre section permettant de respecter le droit de vote démocratique de l'ensemble des adhérents "internet" PS (présentés en AG ou pas..conformément aux informations du site de la campagne d'adhésion interne PS organisée par J.Lang, et au droit pour eux de voter pour le projet/la présidentielle pour 20 euros !)

Au cours du CA de RM75, notre invité exceptionnel, Thierry Mandon (porte parole de RM) a estimé que vraisemblablement une solution serait trouvée au niveau "national" afin de parer au discrédit qu'entrainerait...un éventuel changement des régles de vote interne (pour une partie des adhérents PS)...sur l'image du PS, sur la consultation et avec de gros dégats éventuels pour notre unité socialiste.

Aussi,dans le doute actuellement sur la conclusion ou pas d'un accord local, je ne peux que conseiller comme l'a fait le blog Désirs d'Avenir/Paris, pour les nouveaux adhérents "internautes" PS (non encore présentés en AG, et ayant payé par internet avant le 1er juin 2006) de contacter vite notre secrétaire de section, 13éme ouest, Philippe Moine.

Veuillez noter la prochaine date d'AG, où les adhérents internet PS peuvent être présentés...
Mardi 19 septembre

AG consacrée à l'actualité politique de la rentrée
Salle Bruxelles du FIAP (30 rue Cabanis - Paris 14e)

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07 septembre 2006

CA RM 75..quelques notes



CA RM75 du 07/09/2006

avec Thierry Mandon

Quelques notes personnelles, en attendant la publication du CR de RM 75, sur cette réunion interessante dans le 18éme arrondissement.

"Participation exceptionnelle de T.Mandon qui souligne la necessité de préserver notre unité et d'être plus dynamique, efficace dans notre militance sur Paris..tout en gérant positivement l'espace-temps nous menant à la Présidentielle.
Arnaud Montebourg a choisi une voie garantissant une présence, une mise en valeur, une tribune médiatique avec son rôle de porte parole et une posture permettant de sortir de son splendide isolement RM, de lui donner des perspectives réelles au sein du PS.

Sur Paris, nous devons nous interroger sur la façon de développer efficacement l'influence du courant dans les sections.

Il est indispensable d'être présent dans la campagne, de nous réunir, de travailler dans des groupes de réflexions politiques.

Il réaffirme l'apport loyal, exigeant et rénovateur d'Arnaud dans l'alliance avec Ségolène..tout en précisant clairement que, jusqu'au vote militant RM sur la présidentielle, T.Mandon garde une "réserve" et s'exprime en tant qu'élu respectueux de toutes les opinions des militants sur la Présidentielle et le choix du courant.

Néanmoins, il tient à nous mettre (en tant que militants rénovateurs) devant nos responsabilités et souhaite que nous soyons plus structurés, forts et unis pour exister dans la période présente et être réellement prêt à accueillir des militants parisiens d'autres courants ou des adhérents internet PS.

Un espace existe sur le flanc gauche de Ségolène, à nous de l'occuper et de le faire vivre..en pensant toujours à créer l'évenement sur Paris, à saisir notre chance et à organiser notre communication au mieux pour favoriser de nouvelles adhésions RM.

Nous sommes informés, par Thierry, de la tenue d'un CN de RM le 06 octobre 2006 qui..définira les conditions du vote interne RM dans les assemblées départementales.
Le courant et bien entendu RM75 ne se positionnera pas sur la Présidentielle, avant le vote interne, et les positionnements de CA départementaux ne sont pas jugés très opportuns.

La necessité de la formation militante est évoquée comme facteur de dynamisme, de rencontres entre militants et d'attrait pour RM..tandis que Roseline précise le travail "de fond" à réaliser autour de l'obtemption et de la mise en forme informatique des listes d'adhérents PS, pour mieux les contacter.

Benjamin Ferras souligne l'importance de la circulation de l'information, de sa fluidité et la qualité du relationnel entre les membres de RM..afin de rendre performant la pratique et l'action militante.

Jesu met en avant le projet d'un bulletin (format page A4 recto verso et document word) disponible sur RM75 et téléchargeable pour une impression, distribution dans les AG de section ou vers l'extérieur (secteur associatif).
Un effort de rigueur est souhaité car le contenu sera limité et géré par un comité rédactionnel.
De bonnes volontés dynamiques et désirant travailler en équipe, sont demandées..

Sur la carte scolaire, la necessité pour la gauche et RM est de protester et de chercher à améliorer un systéme qui ne donne pas entière satisfaction, est trop souvent détourné par les classes favorisées et qui entretient une ségrégation sociale, une ghéttoisation dans les quartiers difficiles.

Il est réaffirmé la necessité de maintenir une unité au sein de RM, d'accepter la diversité des opinions (comme lors du traité européen) et de développer le respect entre militants RM pour parvenir à une meilleure efficacité dans nos actions." (Jean)

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05 septembre 2006

La solitude selon..Ségolène



SOCIALISTES !

Non....Ségolène n'est pas seule, depuis ses rencontres avec les citoyens dans plus de 29 départements de notre beau pays puis à...Frangy sur l'invitation bressane d'Arnaud Montebourg, elle a su tisser ce lien de proximité avec la population qui la rend populaire..chez les socialistes, à gauche et au delà de nos sympathisants traditionnels.

Partout des foules, des sourires, des poignées de mains fraternelles et surtout ce sentiment indicible..que la victoire est de nouveau possible, que l'espérance et le renouveau de gauche sont possibles avec une écoute, un parler "vrai", un souffle nouveau qui incite à lancer un grand rassemblement socialiste, avant d'aller au devant de la gauche et d'être en situation de vaincre pour 2007.

Bien des citoyens, en particulier dans les milieux populaires (que nous avions déçus..), se remettent à croire que le PS pourra être..capable de changer leur quotidien.

Nous ne pouvons maintenant, les décevoir !

Un des trois porte parole, avec Arnaud, de Ségolène Royal..G.Savary a conclut récemment une de ces interventions avec un passage très intéressant, à méditer :

"Ce qu'a déclenché Ségolène Royal donne à voir au PS le fossé qui s'est installé entre
son appareil et le peuple.
En se détournant des certitudes confinées des bunkers d'état-major, en prenant le risque de parler des problèmes de la vie, Ségolène Royal incarne une offre politique courageuse qui ne sera pas récupérable par quelque "éminence" socialiste que ce soit.

Elle épouse son temps et propose au pays la réponse politique qu'il attend :
celle de tourner la page d'une génération politique, d'en renouveler les moeurs et le rapport au peuple.

Il était prévisible qu'une posture aussi dérangeante, qui déjà opère un large rassemblement de sensibilités de gauche, qui déjà réunit des socialistes de tous les courants internes, suscite la "surréaction" observée à La Rochelle ;
il l'était moins que la plupart des attaques portent non pas sur le fond, non pas même
sur les tabous thématiques levés par Ségolène Royal, mais sur un insidieux procès en "illégitimité" personnelle.
Le PS s'honore de la démocratie interne qui préside à la désignation de ses candidats, par la volonté de Lionel Jospin, et nul ne saurait songer à s'y soustraire.

Encore faut-il que le débat s'assigne la dignité et la fraternité nécessaires pour qu'il ne se retourne pas contre le collectif dans son ensemble...

Eu égard au paysage politique de cette fin d'été, c'est une donnée que les socialistes doivent intégrer pour éviter un cruel rappel de l'histoire. "(G.Savary)

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01 septembre 2006

Prochaine CA de RM75



Prochain CA de RM75

7 Septembre 2006

..se tiendra le 07/09/2006

à 19h30



Nous aurons l'honneur d'accueillir à Paris

le porte-parole de Rénover Maintenant, Thierry Mandon

Lieu : Local de section du PS 18ème : 7 bis rue de Trétaigne

Métro Jules Joffrin (au lieu du local du 4ème)

Ordre du jour :

1. Bilan Fouras 2006

2. Situation politique nationale

3. Situation parisienne

4. Questions diverses

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